Des policiers et des juges ont choisi de camouffler une affaire de grand banditisme dans la police et la justice liée à la franc-maçonnerie.
A 14 h30, cinq témoins, assistent à la colère (photos) de CWIKOWSKI sur la partie civile (moi-même) à la sortie de l'audience de corruption active qui est reportée au 19/09/06
et la comparution immédiate au 17 mai 2006.
Pour retourner la situation, M CWIKOWSKI a pris deux avocats dont un comme faux témoins ! ! !
L'avocate faux témoin est (ci-dessous) :
Mme JOURNAULT Anne 2 rue Pradel 38000 Grenoble et 43 rue de la république38430 Moirans, dont le mail est prud-homme.journault@wanadoo.fr . Elle exerce dans le cabinet Prud'homme Michel et Mathieu (Droit pénal)
L'autre faux témoin, avec une version différente :
MASCIAVE Louis, un agent de sécurité que CWIKOWSKI connaît probablement pour en avoir employé des dizaines à travers ses sociétés de surveillance.
L'avocat qui a plaidé la violence en réunion est : LEVY-SOUSSAN Arnaud, au 4 rue VICAT à Grenoble
(la même adresse que mon ex avocat COSTA Alban désigné par l'A.J. et qui a entravé ma procédure pour vol de courrier contre MARGAILLAN Henri l'associé de CWIKOWSKI) |
PV : 6/5982/09
AFFAIRE :
Contre/ DESCOURS Pierre Marie
et FORNEY René
VIOLENCES EN REUNION
OBJET :
'AUDITION DE Madame
JOURNAULT Anne
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L'an deux mille six,
le quatre avril à seize heures vingt cinq
Nous, Chantal DESCOU
LIEUTENANT DE POLICE
en fonction au SSP-Quart Jour
Officier de Police Judiciaire en résidence à GRENOBLE
--- Etant au service,---
--- poursuivant 1'enquête en flagrant délit,- ---
--- Vu les articles 53 et suivants du Code de Procédure Pénale,-
--- Avons mandé et constatons que se présente Madame ---
. JOURNAULT Anne née le 21/10/1971 à ANGERS (MAINE ET ---------
LOIRE), de nationalité FRANÇAISE, AVOCAT, demeurant 20, RUE ---
ABBE GREGOIRE 38000 GRENOBLE téléphone professionnel : 04 76 -
87 19 64 -------------------------------
qui Nous déclare :-------
--- "Je me trouvais en début d'après midi au Palais de Justice,
Place Firmin Gautier à GRENOBLE.---
--- "J'en suis sortie vers 14 heures 30 et ai entendu des cris,
en provenance du bout du parvis du Palais de Justice.---
--- "II y avait 5 à 7 personnes à l'opposé de la porte du palais
de justice, un au sol, les autres autour.---
--- "un homme se trouvait au sol, le visage sur le sol. Deux
autres le maintenaient. J'ai entendu crier "arrêtez, arrêtez"
mais je ne sais pas, qui criait. Je ne pense pas que c'était
l'homme au sol. Cela venait de plus haut.---
--- "L'individu qui se trouvait au sol devait avoir environ 60
ans, "baleze".---
--- "En ce qui concerne les deux autres, le premier était vêtu
d'un blouson jaune, le second portait un pull à manches de deux
couleurs, était sec, brun, avec des lunettes. Un de ces deux
hommes avait la main sur le cou de celui qui était au sol.---
--- "J'ai photographié la scène, mais n'ai pas de détail
particulier.---
--- "Je n'ai pas vu d'échange de coups, ou de coups portes par
les uns ou les autres.---
--- "je suis aussitôt retournée dans le Palais pour appeler la
sécurité.--- . .
--- "Je n'ai trouvé personne car la personne de ce service était
déjà sur place, mais je ne l'avais pas vue.---
--- "Une fois ressortie, je me suis rendue compte que tout le
monde était debout, et que l'homme au sol avait un important
hématome et une bosse au niveau de la pomette gauche, et des
traces de sang sur le bord externe de l'oeil droit.---
--- "L'agent de sécurité a demande des explications et l'homme
au pull a levé une de ses manches pour montrer une blessure au
bras.---
--- "II y avait à ce moment sur place 5 personnes dont deux
femmes. L'une d'entre elles est partie.---
--- "Les policiers sont ensuite arrivés et ont procédé à
l'interpellation de l'homme au pull et à celle de l'homme au
blouson jaune,---
… / …
Suite Procès-verbal--- "Je n'ai rien de plus à vous déclarer".---
Apres lecture faite personnellement. Madame JOURNAULT persiste
et signe le présent avec Nous.
Mme JOURNAULT le Lieutenant de Police
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