Des policiers et des juges ont choisi de camouffler une affaire de grand banditisme dans la police et la justice liée à la franc-maçonnerie.
A Grenoble, 4 avril, 14 h30, cinq témoins, assistent à la colère (photos) de CWIKOWSKI sur la partie civile (moi-même) à la sortie de l'audience de corruption active qui est reportée au 19 septembre et la comparution immédiate au 17 mai 2006. En appel le témoignage ci-dessous dénigré par les juges
Comment le vice Procureur de la République Mme DENIZOT Véronique a t-elle pu gober cette mascarade qu'elle savait basée sur le copinage et des propos de l'ex-commissaire
CWIKOWSKI condamné pour faux et corruption ?
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Le quatre avril deux mille six à dix-sept heures vingt-cinq minutes
Nous soussigné Gendarme Hubert MAILLET, agent de police judiciaire, en résidence à MONTELIMAR (26), Vu les articles 20, 21-1 et 75 du Code de Procédure Pénale,
Nous trouvant au bureau de notre unité à MONTELIMAR, rapportons les opérations suivantes :
PERSONNE C0NCERNEE
NOM, PRENOMS (Pour une femme,.
BARNEXXXXXXXXXXXXXXXX
SEXE, DATE et LIEU DE NAISSANCE (Commune..,
Masculin, né le xx/xx/19xx à 38300...
FILIATION et SITUATION DE FAMILLE (dans .
fils de BARNEXXXXXXX.
ADRESSE COMPLETE .
Chef lieu XXXXX XXXXXXXXXXX (France), tél : 04.75.XX.XX.XX, écrivain
Nous entendons la personne dénommée ci-dessus qui déclare :
---- " Je désire apporter un témoignage concernant des violences dont j'ai été témoin ce jour vers 14 heures 20, sur les marches à I'extérieur du Palais de Justice de GRENOBLE
(38). -----------------------------------------------------------------------------
-----En compagnie de madame Chantal ARNAUD, j'étais venu soutenir le moral à René FORNEY qui s'était porté partie civile dans une affaire de corruption active contre I'ex-commissaire révoqué M, CWIKOWSKI. Je ne connais pas très bien l'affaire en générale mais je sais qu'il s'agit d'une affaire de revente de 80.000 fichiers de citoyens français à la société privée ATER.-----------------------------------------------------------
------ L'audience du jour a été reportée et nous sommes rapidement sortis du palais de justice. Alors que nous étions à discuter sur les marches, Chantal ARNAUD sortit de sa poche un appareil photos et à ce moment-là se fit violemment apostropher par une femme qu'elle me dira plus tard être l'épouse de CWIKOWSKI. Ce dernier, qui était à côté d'elle, donna un violent coup de poing dans la figure de René FORNEY, sans sommation. Il le fit ensuite tomber à terre et commença à s'acharner sur lui. A ce moment, Pierre Marie DESCOU RS qui était avec nous. prit la défense de René FORNEY en assainant quelques coups de poings à CISKOWSKY pour le faire lâcher prise. Devant la tournure que prenaient les évènements, j'ai commencé à paniquer, j'ai tiré M. CISKOWSKY par sa veste en hurlant " lâchez le " , il me semble que je lui ai également donné quelques coups de pied dans le dos pour le faire lâcher, mais je ne savais plus trop ce que je faisais à ce moment là car je pèse que 56 kilogs et la bagarre n'est pas dans ma culture. De toute façon, ces quelques coups de pied étaient plus symboliques et je n'ai pas du lui faire bien mal, je criais en même temps : " lâchez les " car il prenait le dessus sur René FORNEY et Pierre Marie DESCOURS réunis car il avait l'air entraîné pour la bagarre et un costaud qui plus est. J'ai fait comme j'ai pu pour essayer de séparer les combattants, ----------------
------ La femme de CISKOWSKY s'en prit à un vieillard de quatre vingt ans qui était également venu soutenir René FORNEY dont j'ai oublié le nom mais je pense que Chantal ARNAUD a du en parler dans sa déposition. Elle l'a traité de vieux sénile en le poussant contre le mur. ------------------------------------------------------------------
------ A la suite, un attroupement se forma, parmi lesquels quelques policiers. Chantal ARNAUD se mit en peu en retrait du groupe pour téléphoner à la gendarmerie de GRENOBLEet non pas à la Police car les policiers sont des copains de CISKOWSKY. Elle ne put pas joindre la dite gendarmerie, ce qui explique notre départ quand les évènements se gâtèrent encore comme racontés ci dessous. Aux policiers présents, je dis que je restais pour témoigner de ce que j'avais vu. Cinq minutes plus tard, deux policiers arrivèrent et commirent des violences contre René FORNEY et Pierre Marie DESCOURS, les insultant et leur menottant les mains dans le dos en même temps qu'ils donnaient des coups de genoux, alors que les deux intéressés n'avaient pas un comportement qui justifiait une telle violence : ils restaient calmes. J'ai demandé à un des deux policiers de rester calme, il a au contraire, redoublé de violence et c'est cela qui me fit changer d'avis craignant de me faire tabasser de la même façon, je rejoignis Chantal ARNAUD et ensemble, nous décidâmes de partir aller déposer en dehors du secteur d'influence de ]a police Grenobloise puisqu'elle semblait totalement acquise à fa cause de CISKOWSKY en se comportant sous mes yeux comme des délinquants --------------
La personne entendue
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