À Monsieur le procureur de la République de Valence
Plainte déposée au Tribunal de Valence le 24 novembre2014
Je, soussigné René FORNEY, né le 5 novembre1954 à Nîmes (Gard), Ingénieur en métallurgie en recherche d'emploi, demeurant 4 chemin Montrigaud, 38000 Grenoble
Dépose plainte pour faux en écriture publique auprès du procureur de la République par application de l'article 441-4, à l'encontre de Mme FOURMANOIR Hélène (et complicité), juge à Valence (Drôme) auteur de l'acte annexé établi le 12 novembre 2014 (Référencé Dossier n°201300087341 - dont une copie annotée est jointe)
LES FAITS :
Après deux demandes par courriers du 30 septembre et du 25 octobre 2014 avec communication de pièces (annexées), Madame FOURMANOIR a reçu Monsieur FORNEY en un unique entretien au 5 novembre 2014. Madame la juge a écrit à la suite de cet entretien un jugement avec des affirmations prétendument à la demande de M. FORNEY, or elles sont totalement à l'opposé des échanges lors de l'entretien. Le 17 novembre, M. FORNEY a relevé aussitôt appel de la décision, mais le jugement constitue un faux en écriture.
Après maintes demandes et une lettre du 16 octobre, Mr FORNEY avait eu aussi un entretien le 29 octobre avec Mme DUMAS (SPIP de Valence). En présence des justificatifs de M. FORNEY avec un résumé du 14/10/13 et des documents identiques adressés à Mme FOURMANOIR. Mme DUMAS avait indiqué à M. FORNEY qu'il devait s'adresser directement à Madame le juge d'application des peines.
Mme FOURMANOIR était donc parfaitement informée des manipulations pour la détention illicite de M. FORNEY et possédaient bien les documents le 5 novembre à son dossier lors de l'entretien. Ils prouvaient incontestablement les manipulations des procédures judiciaires pour fausser le rendu des jugements ayant conduit M. FORNEY en prison.
M. FORNEY s'est donc opposé à son extension de peine sous bracelet électronique pendant les 23 minutes lors des échanges (enregistrement joint) pour obliger des nouveaux juges à réagir face au constat des dérives judiciaires dans cette affaire.
Dès la sortie de l'entretien, M. FORNEY reçoit l'appel téléphonique de Me Patrimonio (qui a été son avocate) qui venait mystérieusement d'être informée des détails de cet entretien et tente de poursuivre la demande de Madame la juge d'accepter l'extension sous bracelet. M. FORNEY a coupé court à cette demande en confirmant à Me Patromonio de ne plus intervenir en son nom. Ce qui a été confirmé par lettre recommandée.
Mme FOURMANOIR devait tenir compte des articles 40 du CCP mais aussi de l'article 432-5 du Code Pénal, elle a préféré rendre un faux en écriture publique.
LE CONTEXTE
M. FORNEY fait face depuis 15 ans à la dépossession de ses biens immobiliers impliquant élus policiers magistrats et complicités en totale violation des textes de lois.
Pour empêcher la résistance M. René FORNEY aux dénis de justice, pour entraver ses recours en justice cela s'est traduit entre autres par le filtrage des courriers judiciaires à plusieurs reprises pendant 15 ans d'où sa plainte jointe du 23 octobre 2014 avec les preuves.
Sont annexés trois articles de Presse (16/06/05 - 1/07/05 - 30/11/06), des photos de l'agression de M. FORNEY par l'ancien commissaire révoqué Bruno CWIKOWSKI, des faux certificats médicaux attribués au médecin des urgences du CHU de Grenoble Laurent Bellanger, des certificats faisant l'état des coups sur M. FORNEY avec 6 jours d'ITT. Tout cela faisait aussi partie des courriers filtrés et détournés en récidive pendant la détention de M. FORNEY à Varces pour éviter de servir de défense à l'audience du 15 mai 2014. Cette incarcération était aux prétextes d'Outrages à magistrats pour réprimer les publications avec les preuves sur Internet.
Pendant la détention de M. FORNEY, le procureur Pierre BECQUET de Grenoble (ex procureur à Valence) et le même procureur indiqués sur ces articles de presse a engagé deux nouvelles procédures pour Outrages. L'une d'elle se soldera par une condamnation de quatre mois ferme supplémentaires portant à 16 mois la détention arbitraire, cela sans que M. FORNEY puisse faire appel car il était consigné dans sa cellule.
C'était là deux nouvelles représailles de M. Pierre BECQUET par vengeances. Il avait trouvé indésirable la constitution de partie civile de M. FORNEY dans l'affaire de vol de 20.000 fichiers de la police revendus pour 600.000 euros en 17 mois par Bruno CWIKOWSKI & co, pour déterminer le patrimoines de personnes pour le compte d'élus et d'huissiers sur toutes la France. En début d'audience en 2005 à la remarque de Me Jean-Michel DETROYAT l'avocat des ripoux (et ignorant qui était M. FORNEY présent en suivant l'avocat des listes municipales du maire Michel DESTOT) le procureur l'a rassuré en disant : « Ne vous inquiétez pas Forney va dégager ». Cela s'est parfaitement confirmé sur l'impunité par les protections. Mais les publications sur Internet de M. FORNEY n'étaient pas appréciées ni même les nombreux témoins venus l'accompagner du tabassage de M. FORNEY le 4 avril 2006 en sortie d'audience (les juges inverseront les rôles malgré les photos jointes et témoins). Deux des témoins auront leur maison incendiées comme chez M. FORNEY à deux reprises à St Martin d'Hères (38400).
Ce contexte permet de comprendre les actions indispensables à la manifestation de la vérité comme les enregistrements des entretiens et publications, mais aussi les pressions que Mme FOURMANOIR a dû recevoir pour étouffer le scandale de l'incarcération de M. FORNEY en représailles de ses publications parfaitement exactes sur les dérives de ses confrères magistrats.
LES FAUX DANS LE JUGEMENT rendu le 12 novembre 2014
Première omission volontaire :
M. FORNEY a demandé la confusion des peines (à 2mn 10s ; à 4 mn 10s ; à nouveau à 17mn7s et 20mn30s) puisqu'il s'agit du même délit pour la même affaires en exposant que la demande a été renvoyée plusieurs fois jusqu'à la rendre inopérante par décision du 12 septembre 2014.
Mme FOURMANOIR a ignoré cette demande, malgré l'insistance de M. FORNEY et son refus d'être reconduit sous Bracelet électronique.
Deuxième fausses affirmations volontaires :
Au bas de la page 1/3, il est écrit :
« Vu l'accord du … et du condamné le 10 novembre 2014 … »
Au milieu de la page 2/3, il est écrit :
« Monsieur FORNEY a déposé une requête en extension… »
« Le condamné donne son accord en extension »
Il y a eu un unique entretien le 5 novembre et non le 10, et, l'enregistrement confirme que le désaccord est total pour accepter le bracelet électronique (de 3mn à la fin) à cet unique entretien du 5 novembre.
M. FORNEY a insisté :
« Je ne ferai pas de demande de prolongement sous bracelet … » (à 5mn50s)
« Qu'on me remette en prison, celui qui va le faire… » (à 6mn)
« Je retournerai en détention » (à 6mn20s)
M. FORNEY a rappelé l'article 40 du code de procédure pénale (7mn10s et à 12mn55s).
Et a dit aussi :
« Vous avez vu cinq semaines de courriers détournés… » (à 7mn30s jusqu'à 8mn20s)
« Vous avez un pouvoir de contestation c'est à vous de l'exercer… » (à 9mn16)
« je n'ai pas de demande d'extension à faire… » (à 10mn42s)
« ça sert à rien qu'il y ait des étages dans la justice pour les étages valident.(12mn30s.)
« je vous conseille de prendre contact avec votre avocat »(17mn24s)
« J'attendrai que la date soit passée » (17mn39s)
« c'est tout réfléchi »(18mn50s) répété plusieurs fois
« ça fait quinze ans que j'ai le même discours, c'est pas moi c'est l'autre… » (19mn26s)
« Tout est entièrement publié » (19mn52s)
« J'attends une convocation » (21mn02)
Madame la juge a délibérément menti dans son jugement en parlant d'accord de M. FORNEY, et, vu le contexte de répétition des faux et mensonges en 15 ans cela n'est pas nouveau pour cacher la gravité des faits des motifs réels de la privation de liberté de M. FORNEY.
Cette mention « accord » et date du « 10 » sont donc inexactes et cela est confirmée par l'enregistrement entier joint de l'unique entretien sur convocation écrite du 5 novembre 2014 dans le cabinet de Mme Hélène FOURMANOIR au TGI de Valence (Drôme) en présence de sa greffière.
Pièces accompagnant cette inscription de faux
Du 30 septembre et du 25 octobre 2014 - Courriers au JAP de Valence
Du 5/11/14 - Convocation de Mme FOURMANOIR juge d'application des peines
Jugement du 12/11/14 du cabinet de Mme Hélène.
Du 17/11/14 - Enregistrement de la déclaration d'appel du jugement du 12/11/14
Du 12/09/14 - Renvoi de décision de confusion de peine - Cour d'appel de Nîmes.
Plainte du 23 octobre 2014 avec les pièces du bordereau.
Trois articles de Presse (16/06/05 - 1/07/05 - 30/11/06) avec le nom Pierre BECQUET
10 Photos de l'agression de M. FORNEY par le commissaire révoqué Bruno CWIKOWSKI (2 pages)
Trois faux certificats médicaux attribués au médecin Laurent Bellanger du CHU
Certificat du Docteur Baconnier du 4/4/06 suivi de 6 jours d'ITT pour M. FORNEY.
Résumé du 14/10/13
2 CD comprenant l'enregistrement audio en mp3 et wav + les documents présents |