Me ROBERT a provoqué un glissement de terrain en construisant sa villa sur parcelle en forte pente initialement impropre à la construction (onze ans de procédures étouffées !)...
Le croquis (pièce 30 ou 74H) de la maison diffusé sur Internet montre comment les travaux effectués par Me ROBERT ont provoqué de graves lézardes dans la maison de son voisin et comme par hasard les procédures ont été verrouillées.
Il est évident que M Christian ROBERT a utilisé sa fonction, et, ses relations pour ses intérêts personnels contre son voisin du dessus et de la même façon contre moi.
Que se soit pour la double facturation de M ESPENON ou les actions illégales de Me ROBERT, M le procureur devrait comparer les 10.000 noms effacés du dossier d'instruction avec les noms des fichiers clients des huissiers.
Cela permettrait de retrouver :
- Les huissiers qui contournaient la loi en utilisant les réseaux CWIKOWSKI.
- Les victimes de sommes détournées qui sont allées directement dans les poches de mafieux au lieu d'aller dans celles des créanciers, comme cela a été le cas par l'avocat BESSON Jean-Pierre.
Présent à une audience, j'ai pu constater que quand la justice veut retrouver les receleurs de 150 bouteilles de champagne volées par des Roumains dans les supermarché, elle y parvient. Il est vraie que dans cette dernière affaire les Roumains logeaient dans un squat appartenant à un franc-maçon BUISSON Jean-Marc qui les a dénoncés.
Le zèle dans ce cas a été surprenant et fulgurant (voir le Dauphiné du 22 décembre 2004)
C'est ce même BUISSON, devenu mon voisin en 1993, qui a facilité la rencontre au mess des officiers de mon ex-épouse avec GIRAUD, CWIKOWSKI, … puis DESCHAMPS Yves.
VII- B- Les interventions répétées du juge M DOUYSSET Michel pour valider à tout prix son arrêt vicié du 16/10/01(faisant suite à l'audience du 4 juillet 2001 - Supra p 4)
A l'audience contre mes sites Internet, le 6 décembre 2005 Mme la présidente GOUY-PAILLER, a fait remarquer à M le Procureur TERNOY, qu'il n'y avait pas de lettre de constitution de partie civile pour aucun des trois juges indiqués sur la citation du 6 décembre 2005. (Cela concernait les accusations d'outrages à l'encontre de MM BUFFIN, BUISSON, DOUYSSET)
La cause est simple, tout est exact dans mes dénonciations et est parfaitement vérifiable en cas de doutes.
Le juge DOUYSSET Michel a présidé l'audience d'appel de mon divorce. Informé de mes doutes sur l'absence de contenu de mon dossier remis par mon avocat DREYFUS Denis, il n'a pas répondu à mon alerte (pièce 8).
En fait, j'ai eu confirmation le 22 juillet 2004 (en consultant, au greffe, les pièces retournées de cassation) qu'il savait que mon dossier avait été vidé depuis le 6 juin 2001 (pièce 7 ou 23R) juste avant l'audience du 4 juillet.
Lors de ma plainte contre Me CALAS Jean, à propos du blocages de mes pièces, le juge M DOUYSSET (encore) a confirmé le refus d'entendre et de répondre à mes demandes (arrêt 2003/00610 2003/00756 - n° parq. 02/90058, n° instr. 4/02/84 - Plainte du 16/05/02)
Lors de la plainte contre Me BOTTA-AUBERT, le juge M DOUYSSET (encore) a confirmé le refus d'entendre et de répondre à mes demandes (arrêt 2004/00030 - n° parq. 02/90087, n° instr. 4/03/22 - Plainte du 9/07/02).
Le nom du juge DOUYSSET paraît aussi sur mon tee-shirt présenté le 1er juillet 2004 en salle d'audience.
Au moment de mon intervention en salle d'audience avec cetee-shirt, Me BOTTA-AUBERT était présente, à la suggestion d'un confrère :
" Attaquez le donc en diffamation ! "
Le témoin a entendu Me BOTTA-AUBERT lui répondre :
" Il ne faut pas faire de mousse, ça laisse des traces... " ! ! !
Cette réponse révélatrice de Me BOTTA-AUBERT confirme le niveau d'enterrement de mon affaire.
Du 11 septembre 2006, conclusions d'appel partie civile pour le 19 septembre 2006 : - 9 / 30 -