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Accueil VERDICT Requête suspicion légitime (art 662) Plainte Jugement du Goulag Vidéo 2017 magistrature pires dérives ! |
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Un réseau mafieux de : magistrats, ex-policiers, avocats, avoués, experts... BALLES pour l'avocat CONCLUSIONS PAGES : 1 à 5 , 6 à 10 , 11 à 15 , 16 à 20 , 21 à 25 , 26 à 29 |
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Imprimer formats WORD RTF | Report 3/07/08 - Verdict 25/09 | Mémoire en cassation |
Comment André VALLINI, Président de la commission d'enquête parlementaire sur le désastre d'Outreau à t-il pu autoriser l'épouse de M CWIKOWSKI à accéder à des données sensibles comme les contentieux juridiques dans son administration ? Comment pouvait-il ignorer la révocation de l'ex-commissaire de police et la condamnation pour faux en écriture privée de l'époux de son employée ?
Cette mise en commun de repris de justice, de sociétés, de relations politiques est étrange ! Comment l'importante société (supra page 20) d'expertise comptable SAFIREC a t-elle pu installer une antenne Grenobloise dans les locaux de ECL (pièce 4 ou 12V9) et (pièce 5 ou 12V8) en ignorant le passé judiciaire de CWIKOWSKI. ? On trouve, encore un hasard de relations entre les « trois GIRAUD » dont les deux premiers sont dans les même locaux :
Je rappelle que CWIKOWSKI gérant des deux sociétés GCEA et ECL a été poursuivi pour corruption active ! Voilà pourquoi mes preuves incontestables contre GIRAUD, MARGAILLAN, CWIKOWSKI... sont bloquées par tout un réseau de malfrats comprenant aussi certains magistrats . Voilà pourquoi, depuis neuf ans, j'ai droit à un harcèlement judiciaire sollicité par un réseau Si un maillon vient à lâcher, tout l'édifice des trafics mafieux très lucratifs risquerait de s'écrouler . Voilà pourquoi j’ai été tabassé par CWIKOWSKI sur le parvis du palais de justice, avec toute la sollicitude et complicité de magistrats et de policiers lors de ma venue pour mes dénonciations en audience comme partie civile le 4 avril 2006 à 14h . III - k – 6 – Le parallèle avec d’autres affaires impliquant le même magistrat J'ai assisté en appel à toutes les audiences concernant les 16 assassinats dans le Vercors attribués à l'OTS (Ordre du Temple Solaire) Un groupement en relation avec la franc-maçonnerie. Cette affaire présente des similitudes telles que :
Des gens dont l’instruction s’est acharnée à démonter le suicide collectif par le feu, alors que :
La thèse du suicide collectif présentée par le juge d’instruction et ses deux experts Jean-Luc CHAUMEIL Du 25 septembre 2007, conclusions d'appel correctionnel pour l’audience du 10 octobre 2007 à 14 h ou tous reports : - 21 / 29 - (Pour les cochons brûlés) Jean-Marie ABGRALL (pour la mystique) n’a convaincu personne du public. Or, avec plusieurs personnes dont M LIZERETTI Alain sur le parvis du palais de justice, après l’audition des trois experts, nous avons constaté à la sortie d’une des audiences le mercredi 26 octobre 2006 à 13 heures que M FONTAINE sortait juste après nous, et, rejoignait après leurs exposés scabreux les deux experts en portant ses bras sur leur épaule. Cette familiarité avec ces deux experts qu’il avait choisis lors de l’instruction de cette affaire des seize suicides supposés nous a tous surpris. Nous avons eu l’impression que M FONTAINE avait tout fait pour enterrer cette affaire avec la complicité de deux experts qu’il connaissait très bien. Il y a tellement d’invraisemblances aussi dans cette affaire qu’elle sera forcément rejugée un jour . IV - LE COMBLE DE LA JUSTICE : DES MAGISTRATS DÉMASQUÉS DANS LEURS MAGOUILLES N’ONT PAS TROUVÉ D’AUTRES ISSUES QUE D’ASSISTER UN TRUAND POUR ME FAIRE TAIRE IV - a - J'ai été roué de coups par CWIKOWSKI, mais, le procureur TERNOY René a malgré cela, réclamé 3 mois ferme, contre moi ! Avec la complicité d'avocats et d'un agent de la sécurité, la situation a été retournée contre moi en "violence en réunion" avec 48 heures de garde à vue et une comparution immédiate le 6 avril 2006. Bizarrement le vice-procureur Mme DENIZOT Véronique n'a entendu que la version de CWIKOWSKI. De victime, je suis devenu agresseur et j'ai été condamné. Que j'ai pu agresser l'ex-commissaire révoqué, M CWIKOWSKI, plus jeune que moi avec 30 kgs de plus et qui a été professeur de Karaté, choque tout le monde à Grenoble sauf Mesdames les juges DENIZOT, MOUTON MICHAL. Le procureur TERNOY René, déjà présent (contre moi) le 6 décembre, a requis 3 mois de prison ferme (contre moi !) Il a déclaré que mes 5 témoins n'étaient pas crédibles (Et cela, bien qu'ils aient déposé tous sans possibilité de concertation) et, que les "personnes en robes" témoins pour CWIKOWSKI ne pouvaient mentir. Les exemples de ceux qui dérapent dans cette profession font pourtant la une des journaux dans l'Isère sur mon site Internet. Cette audience en comparution immédiate fait suite à l'agression (pièces 76) le 4 avril 2006 sur la partie civile (moi-même) par l'ex-commissaire révoqué CWIKOWSKI qui n'a pas apprécié que je dévoile publiquement les 600.000 € encaissés pour la revente des données personnelles volées supra pages 4 et 5) destinée en partie aux loges maçonniques comme l'écrit au juge son employée (pièce 40) juste avant l'audience. Au report du 17 mai 2006, comme aux temps de l'inquisition, j’ai été jugé et condamné en audience unique, dans une salle vide, à l'écart du public orienté avec les journalistes vers la salle n°5 bondée où étaient programmées toutes les autres audiences correctionnelles du jour. La personne qui m’a portée secours a eu droit au même traitement que moi, car pour instrumentaliser la justice, il fallait utiliser le mobile de « violences en réunion » Ainsi, des magistrats qui voulaient me sanctionner pour mes dénonciations publiques ont retourné la situation contre moi en "violences en réunion" avec la complicités d’un agent de la sécurité, de forces de l'ordre, des faux témoignages de deux avocats grenoblois, et d’un médecin :
Mais sur ce certificat du 5, il est écrit qu’il est établi d’après les soins de la veille (soins qui ne seraient pas de lui !). En plus les secrétaires m’ont indiqué que les surcharges manuelles ne sont pas dans l’ordinateur et cela n’est pas la procédure habituelle ! Après maintes vérifications, j’ai présenté une plainte au Doyen des juges d’instruction, mais après un retour au motif d’une modification de la loi au 1 er juillet 2007, je l’ai représentée à M le Procureur de la République (pièce 100).
« On dirait que vous n’avez vu qu’une partie de la scène » n’apparaît pas !
Et cela en ignorant mes 5 témoins qui n'ont pu se concerter avant leur déposition (pièces 76). En 14 jours, ni le président de la chambre des huissiers François JACOB, ni l'huissier Di GIROLAMO Joseph Daniel, missionnés par l'avocat de la cour de cassation Me LE GRIEL, n'ont pas daigné signifier au procureur de la République la requête (pièce 102) en suspicion aux fins de dépaysement. Doit-on y trouver un lien avec l’hébergement de l’activité d’enquête et recouvrement de CWIKOWSKI dans les locaux (pièce 46) de M JACOB à Crolles ? Le procureur René TERNOY visé dans mes conclusions de partie civile pour l'audience du 4 avril 2006, a participé à l'audience du 6/12/05 pour ma condamnation à 4 mois avec sursis pour mes publications sur Internet : www.victime-ripou.com et www.trafic-justice.com C'est ce même procureur M TERNOY René qui :
La collégialité des trois juges présidée par Mme MOUTON MICHAL Christine s'est pliée à la volonté de me faire taire pour protéger le commissaire condamné récidiviste. Alors que je suis au RMI, elle nous a condamnés à 2 mois avec sursis et à verser près de 3000 € au truand CWIKOWSKI Bruno et sa compagne PANZARELLA Angela (ex GANTIN) Les défaillances de l’instruction exclusivement à charge : Du 25 septembre 2007, conclusions d'appel correctionnel pour l’audience du 10 octobre 2007 à 14 h ou tous reports : - 23 / 29 -
IV- c – Les autres sanctions abusives Pour son manque de discernement le juge BURGAUD a du rendre des comptes devant le peuple mais l’impunité de ce monde persiste et les dérives s’accumulent. Comme dans l'affaire OUTREAU, les juges vont-ils persister dans la faute délibérée jusqu'à me mettre en prison car, de toutes façons, je continuerai de dénoncer jusqu'à ce que justice me soit équitablement rendue ? Depuis 1998, le début de mes ennuis avec la justice, les juges ont oublié les mots discernement, partialité, indépendance, abus de pouvoir. J’ai été :
Il est étrange que ce magistrat oriente ses poursuites sur le dénonciateur et non sur les personnes contre lesquelles les preuves flagrantes abondent.
Tout cela ne repose que sur une volonté de dissimuler par tous les moyens la vérité sur l'ampleur des manipulations illégales. Des policiers ripoux protégés par certains magistrats mafieux parce qu’ils alimentent les réseaux francs-maçons en fichiers personnels . V - DISCUSSION Pourquoi le procureur n'engage pas de poursuites contre les trafiquants, au lieu de s'acharner sur moi ? De retour en poste à GRENOBLE après un bref passage à VALENCE, le Vice - Procureur M Luc FONTAINE a déclaré, à propos de la justice de notre pays, dans le DAUPHINE LIBERE du 3 mars 2006 : « système totalement incohérent... personne n'y comprend plus rien ! Le système est tel que ceux qui s'en sortent le mieux, ce sont les délinquants très organisés » Cette déclaration explique entre autres notre classement de la banque mondiale au 45 ème rang pour l'environnement juridique des affaires de notre pays. Le classement pour la corruption est en relation. M FONTAINE a pourtant eu l'occasion d'entendre (pièce 42 ou 36B) mes dénonciations de la corruption (pièce 6 ou 60) en relation avec la non-transmission de mes pièces contre ces policiers ripoux. A lieu de considérer mes déclarations, il m'a plutôt fortement incité à retirer mes plaintes contre mon avocate BOTTA-AUBERT et mon avoué Jean CALAS. Du 25 septembre 2007, conclusions d'appel correctionnel pour l’audience du 10 octobre 2007 à 14 h ou tous reports : - 24 / 29 - Devant la presse M FONTAINE prétexte l’incompréhension du système, mais il fait absolument tout pour que les délinquants très organisés échappent à la justice quand je lui fournis toutes les preuves ! Encore une fois je rappelle la phrase du rapport d'enquête du commandant de police Max THIBAUDIER, il écrit :
Si la justice contactait les 16.000 personnes fouillées dans leurs vies privées, elle permettrait de confondre ce réseau mafieux de trafiquants de procédures judiciaires, d'escroqueries aux jugements ou d'autres atteintes graves aux libertés individuelles. En tenant les noms secrets, la justice protège qui ? Les victimes, ou plutôt le réseau d’escrocs CWIKOWSKI ? Bien sûr on y trouverait des huissiers des avocats, des notaires tout un monde de notables véreux auxquels on préfère ne pas toucher. Après cela, on nous dira que la justice est rendue au nom de peuple et qu’elle doit servir d’exemple par ce peuple. Mais de quelle partie du peuple parle t-on ? Sans doute du peuple d’en bas, comme disent certains politiques ! Il est très surprenant que les donneurs d'ordres et associés de M CWIKOWSKI ne soient pas poursuivis pour complicité de corruption et recel (supra page 14) Comment M GRECO Pascal (pièce 59), détective, président de la société ATER spécialisée dans le renseignement avec un effectif de 107 personnes, pouvait-il ignorer l'origine frauduleuse des renseignements, et, financer pour près de 600.000 € l'activité de M CWIKOWSKI (supra page 4) ? Comment MM GIRAUD Paul, ex-brigadier, MARGAILLAN Henri (pièce 24 ou 26V4) ex-responsable de la brigade des stups, CHARLON Pierre responsable de la gendarmerie d'Eybens (lui aussi condamné - pièce 28 ou 73H), CWIKOWSKI Pierre (pièce 51) policier dans le Var, BAUD Daniel (pièce 53) informaticien, et les autres associés pouvaient-ils ignorer que M CWIKOWSKI était déjà lourdement sanctionné par la justice ? M Marin Jean-Claude, procureur de Paris éprouvait le besoin de préciser :
Contrairement aux dires du juge d’instruction Dominique DE TALANCE (Express du 10/11/2005). A travers cette affaire se pose le problème de l'enterrement des affaires par le parquet ! Les procureurs, responsables des poursuites, ne s’interrogent pas :
Le procureur M TERNOY René a parlé de paranoïa en se référant à mes conclusions du 6 décembre 2005 puis s’est acharné à me faire condamner (supra pages 22 et 23) au profit d’un truand déjà lourdement condamné pour corruption. Du 25 septembre 2007, conclusions d'appel correctionnel pour l’audience du 10 octobre 2007 à 14 h ou tous reports : - 25 / 29 - |
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